lundi 20 juin 2016

ON NE NAÎT PAS RÉFUGIÉ MAIS ON LE DEVIENT.


Le réfugié est un individu quelconque, qui par contraintes, quitte son pays pour un autre, suite à des conflits, différends territoriaux, guerres et attentats. Nombreux sont ceux qui deviennent réfugiés, sans domiciles fixes (SDF) et se trouvent confrontés à des problématiques, une fois en dehors de leurs territoires.

En effet, se trouvant dans l’incapacité de résister aux différentes formes de violences qui prévalent autour d’eux, les individus victimes de tensions sociales fuguent vers d’autres horizons à la recherche de stabilité sociale.

Ainsi, leur mode de vie change puisqu’ils intègrent un nouveau milieu et ne sont pas toujours les bienvenus. Si on choisissait d’être réfugié,

jeudi 16 juin 2016

(AUDIO) Situation des réfugiés: Le HCR explique les enjeux au CESTI


Une rencontre d'échanges s'est tenue ce jeudi 16 juin 2016 à la case foyer du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI) entre la représentation régionale du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et les étudiants. Cette initiative entre dans le cadre de la commémoration de la journée mondiale du réfugié, célébrée le 20 juin. Du statut de réfugié, en passant par la distinction entre la notion de réfugié et celles voisines, l'administrateur principal régional en charge des urgences, Mr Pierre ATCHOM a abordé plusieurs aspects de la question. Voici un extrait sonore de cette séance d'échanges:

mercredi 8 juin 2016

IL ÉTAIT UNE FOIS, 20 ÉTUDIANTS.


L'histoire retiendra que les étudiants de la 46e promotion du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI) sont passés à la pratique de la présentation des brèves le vendredi 15 janvier 2016 aux environs de 08heures. Ce passage inopiné entre dans le cadre du cours de télévision dispensé par Mr Papa Atou DIAW, journaliste à la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS). Les futurs journalistes étaient habitués à présenter les brèves en classe mais il faut avouer que les réalités ne sont pas les mêmes quand l'on est face à une caméra.

En effet, chaque vendredi matin, on assistait à des allées et venues dans les couloirs du CESTI. Il s'agit bien des étudiants de la première année, tirés à 4 épingles s’apprêtant à dévoiler leurs qualités de présentateur; les uns faisant la mise en bouche textuelle et les autres finissant d'affronter les réalités du studio télé et racontant les faits.

Le service technique constitué de Mlle GAYE et Mr Sérigne THIAM procédait à l'enregistrement du "flash info" dans un grand studio lumineux et avec un équipement de dernière génération: tout était en place pour que chaque étudiant donne le meilleur de lui-même. Un micro en miniature est fixé sur la tenue du présentateur. Ce dernier a une vue directe sur la cabine technique (vitrée, composée d'équipements techniques, de table de mixage et d'écrans plats). Ainsi, le technicien fait signe au caméra man après vérification de l'émission sonore du micro. Ce dernier étant dans le même studio que le journaliste, lui donne le top afin qu'il commence sa présentation. 

Une fois la caméra braquée sur lui, il n'a pas droit à l'erreur car il est sensé avoir une idée de son texte, bien que rédigé sur des feuilles blanches se trouvant sur le plateau. Même avec un télé-prompteur en face, il peut arriver qu'il tombe en panne en plein enregistrement d'un direct ou du journal télévisé (JT), sait-on jamais. Dans ce cas, cette rupture ne doit ni se faire sentir, ni interrompre le présentateur dans son élan. Aussi, tout en jetant des coups d’œil furtifs sur son papier, le journaliste doit passer plus de temps à regarder le téléspectateur, qui représente l'objectif de la caméra.  

Le passage à l'écran obéit à un certain nombre de règles dont la maîtrise du texte, la ponctualité, une tenue vestimentaire appropriée et le respect du timing. Il faut également adopter une bonne posture et tenir compte des critères de classement de l'information (c.f. pyramide inversée). N'est pas bon journaliste, qui est en déphasage avec l'une de ces règles. 

N'est pas journaliste qui veut mais qui peut. Facile que cela puisse paraître, présenter à la télévision est loin d’être un jeu. Il est vrai qu'une chose est de recevoir une formation et l'autre est de se comporter comme on veut, après l'obtention du diplôme: chacun est maître de lui-même. Cet exercice sollicite des prédispositions inévitables comme une belle voix, une bonne apparence physique et la présence d'esprit. Ce qui fait la force du médium est la puissance des images. Il est à noter que la télévision fait appel à plusieurs corps de métiers puisque le travail en chaîne est de mise. Il s'agit du caméra man, du monteur, du chauffeur, de l'éclairagiste, du réalisateur, de l'infographe, du preneur de son, du maquilleur, du scripte, du régisseur,...Le bon présentateur ne joue pas au vedettariat et évite de s'installer dans une bulle: l'humilité est l'une des 7 règles de base de la télévision.      

mercredi 1 juin 2016

(AUDIO) Acte III de la décentralisation au Sénégal : qu'en est - il ?


Abdoulaye SENE, président-fondateur du think tank international Global Local Forum est l'invité du carrefour d'actualités de ce mercredi 1er juin 2016. Cette séance d'échanges avec les étudiants du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI) s'est tenue à la case foyer et a porté sur "l'Acte III de la décentralisation au Sénégal". En abordant le thème de la rencontre, le conférencier a expliqué les enjeux de la territorialisation des politiques publiques au Sénégal, ainsi que les éléments de conclusion et perspectives.

Il est à retenir que «Global Local Forum» est un groupe de réflexion crée à Dakar en 2008 qui s'investit à l'échelle internationale pour un développement mutuel des territoires...La vision de ce groupe est d'apporter une touche spéciale dans la conception des politiques de développement» dit-il . Cela repose sur quelques principes dont