lundi 23 mai 2016

A la découverte de la famille de Cheikh Anta Diop

Quinze étudiants de la 46e promotion du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI) ont effectué une sortie sur Ceytou le 08 mars 2016. Ce voyage était dans le cadre d'une activité: "semaine consacrée à l'alphabétisation et à l'éducation" et coïncide avec la Journée Internationale de la Femme. Un thème et une région sont ciblés chaque année par le PALAAE en vue de commémorer des figures. Ainsi le thème de cette année est consacré à la "richesse" et à la "pauvreté".

 Apres  la visite de l'université Alioune Diop de Bambey, en passant par le rectorat et la bibliothèque, cap a été mis sur le village natal de Cheikh Anta Diop.
Les journalistes en devenir ont rencontré certains membres de sa famille. Parmi ceux-ci, il y avait son neveu Sérigne Ass Mbacké, le chef religieux du village. Ce dernier a raconté les circonstances dans lesquelles Cheikh Anta Diop est entré dans "la cour des grands". Nous avons également eu le privilège de prendre des vues devant le mausolée dans lequel repose l'homme. Plus qu'un coup de chance car à notre arrivée, les femmes du village mettaient les lieux au propre puisque l'épouse de Cheikh Anta Diop, aussi décédée, devait être enterrée non loin du corps de

vendredi 20 mai 2016

ÎLE DE GORÉE (SÉNÉGAL),TERRE HISTORIQUE

J'ai eu le privilège de visiter l’île de Gorée le 08 Avril 2016. Il est 10 heures et sous le soleil ardent de la ville de Dakar, les gens allaient et venaient de part et d’autre. Nous sommes à l’embarcadère, passage obligatoire pour échouer sur l’île de Gorée. L’endroit grouille de monde, il y a une multitude de touristes (africains et européens) qui faisaient la queue pour acheter le billet du transport. Certains étaient surexcités de découvrir ce paysage, cette terre dont l’histoire remonte à la traite négrière subie par nos aïeuls, tandis que d'autres étaient indifférents car ce n'est surement pas leur première fois. 

Accompagné de 3 compatriotes béninois qui étaient aussi contents que moi, j'étais animé d'une certaine joie car je découvre du nouveau. Une fois les tickets achetés, nous prenons place à bord de la chaloupe. C'est un grand bateau blanc motorisé, à 2 niveaux superposés et composé de plusieurs rangées de sièges. Il flottait sur l'océan bleu verdâtre qui scintillait grâce au reflet des rayons solaires. Malgré le soleil qui brillait de mille feux, le climat était froid mais les touristes se détendaient. Tous les visages étaient souriants et je n'avais qu'une seule envie: faire un tour en mer. Discussions, taquineries et prises de vues étaient de la partie. Erreur serait-ce de ne pas immortaliser ces moments intenses de plaisir. Les européens sont fascinés par la nature et la splendeur des terres africaines. Certaines commerçantes abordaient les touristes pour faire la publicité de leurs produits (perles, colliers, bracelets, tissus et tableaux d'arts...) puisque le grand marché de Castel est situé non loin. 

Le bateau a levé l'encre, ainsi s'annonce une balade pour atteindre l'autre bord de la rive. Apres quelques minutes de jouissance maritime, la chaloupe accosta. Le fait d'avoir vogué était si bien que j’arrêterais le temps si j'avais des pouvoirs. Sur les lieux, chaque touriste prend sa direction; tout était si beau que ça donnait envie d’être partout à la fois. Le choix porté par mes compatriotes et moi, était sur la "maison des esclaves". 

En réalité, c'est ce lieu historique qui fait souvent l'objet des visites effectuées par des hommes, femmes et enfants venus des 4 coins du monde. "La porte du non-retour" est le dernier passage qui menait les esclaves jusqu’à l'embarquement pour le Portugal, Haiti et les Amériques. Quand ils franchissaient cette porte, il leur était impossible de revenir en arrière. 

Comme nous l'expliquait le guide touristique du site de Gorée, la "porte du non-retour" donnait un accès direct à l'Océan Atlantique. Une tentative d'évasion d'un seul esclave l’entraînait à l'eau, suivi de toute une foule car ils avaient cous, pieds et mains liés par de grosses chaines qui pesaient énormément. Certains se laissaient embarquer mais d'autres préféraient se donner la mort pour sauver leur honneur et leur dignité. Avant d’être déportés, ils étaient hébergés dans des conditions misérables, entassés comme des sardines dans des cases sombres, retreintes et malpropres. 

Enfants, hommes et femmes étaient classés par catégorie puis il y avait également un abri pour les récalcitrants, ceux qui n'obéissaient pas à leurs maîtres. Avant d’êtres vendus ou troqués, les esclaves étaient marqués au fer chaud pour ne pas être confondus. Il fallait répondre à un certain nombre de critères pour traverser l'océan donc ceux qui n'avaient pas les aptitudes physiques étaient enfermés et engraissés avec des haricots pendant 3 jours. Quant aux malades, ils étaient jetés à la mer. 

Dans le rang des jeunes filles, seules les vierges effectuaient ce voyage et on les reconnaissait grâce à la forme de leurs seins qui étaient dodus, en forme et tenaient. Quelques unes étaient forcées à coucher avec leurs maîtres, violées et engrossées. Les enfants étaient séparés de leurs parents pour servir de main d'oeuvre dans les plantations de canne à sucre, ils subissaient une énorme violence psychologique car voir ses géniteurs subir la torture et la barbarie est un véritable traumatisme.

L'histoire des esclaves de Gorée est la même que celle de Ouidah (ville touristique du Bénin, site de la "porte du non-retour"). Ce qui fait la particularité du pays berceau du "Vodun" dans l'histoire est que durant leur parcours, les esclaves étaient soumis à des rituels qui les rendaient amnésiques: ils oubliaient tout de leurs cultures, origines et coutumes. Ce rituel consistait à les faire tourner autour de "l'arbre de l'oubli" (9 fois pour les hommes et 7 pour les femmes). 

Pendant cette sortie, le premier souvenir qui m'a traversé l'esprit est une des photos de ma mère qui descendait de la chaloupe il y a de cela quelques années quand elle était au Sénégal pour des raisons professionnelles. Voyager et découvrir est une aventure très passionnante. Le Sénégal est le troisième pays que je visite après le Togo et le Ghana.

 Quitter son pays à la découverte d'un autre monde permet de rencontrer des cultures et des pratiques différentes. Non seulement en fonction de cette expérience, cela nous permet de raisonner autrement mais aussi d'apprendre à nous adapter aux conditions de vie qui varient d'un milieu à un autre. 

Malgré tout le châtiment infligé à nos aïeuls, il est regrettable de constater que les occidentaux sont placés en haut de l'échelle dans certaines de nos sociétés africaines.          

lundi 16 mai 2016

CÉRÉMONIE DE REMISE DE CADEAUX AU CESTI.


Comme il est de coutume au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI), la cérémonie de parrainage des étudiants par les étudiants est celle qui précède la cérémonie de remises de cadeaux aux filleul(e)s. 

Tout au long de sa formation au CESTI, chaque étudiant est tenu d'avoir un parrain ou une marraine. Non pas pour une prise en charge mais juste pour apporter le soutien dont l'apprenant a besoin pour réussir sa mission. Cette année, l'amicale des étudiants du CESTI a sacrifié à la tradition en trouvant un créneau pour organiser cet événement qui entre dans le cadre des journées du cinquantenaire de cette école qui ont eu lieu les 11, 12, 13 et 14 Mai 2016. Le samedi 14 était la dernière journée qui devait mettre fin aux festivités. 

Le chronogramme était prévu comme suit:
-journée portes ouvertes (les invités ont le privilège de visiter tous les locaux de l'école), festival journaux lycéens
- dégustation de plats africains (chaque nationalité du CESTI doit présenter un met de chez lui. Il y avait le Sénégal, le Bénin, le Togo, la Cote d'Ivoire, le Cameroun, le Mali, la Guinée et la France)
-dîner de gala à la place du souvenir africain.

Une bonne partie des étudiants était présente lors des manifestations. Ils étaient vêtus de T-shirts confectionnés pour cette journée. On pouvait remarquer une exposition de livres dans la cour de l'école. Tout le monde était actif pour que la fête soit belle, des chaises étaient installées de part et d'autre pour accueillir les invités. 

À l'entrée du CESTI plus précisement dans le hall principal, était installé un Disc Jockey (DJ) qui assurait la sonorisation. À vrai dire, il manquait d'efficacité car d'une part il n'était pas bien équipé. Il était muni que d'une clé USB, d'un amplificateur et d'un micro à fil qui n'est pas trop de bonne qualité car le son n'était pas net. D'autre part, les morceaux qu'il balançait n'étaient plus trop à la page et ne faisaient pas bouger donc j'étais obligé de le remplacer vu qu'il gâtait l'image des étudiants. Pour participer à la réussite de la fête, j'étais obligé de prendre sa place, non seulement j'avais mon PC (ce qu'il n'avait pas)  mais également une collection de nouveaux sons.

 Quelques minutes après l'animation que je faisais, les gens étaient plus dans le mouvement, ils étaient égayés par le rythme de la musique. J'ai pris le soin de diversifier les sons car il y avait beaucoup de nationalités et chacun devait se sentir chez lui. Certaines personnes me faisaient la pression tout en disant que la musique sénégalaise était délaissée alors que tel n'était pas le cas donc je ne me fiais pas à leurs propos puisqu'il me fallait assez de concentration. Dans le même temps, deux étudiants du CESTI se partageaient le micro pour garder en haleine le public.

 Chaque parrain montait sur le podium après avoir été annoncé par les animateurs pour offrir un cadeau au filleul(e). Certains venaient avec des emballages et d'autres les bras ballants. Ce fut le cas de Mansour BA, mon parrain qui promet faire un geste prochainement. Pour moi, le matériel ne compte pas forcément. Quand arrive le moment de la dégustation, les invités se grouillaient pour savourer les différents plats proposés par les étudiants. Le DJ n'a pas manqué cette partie pendant que moi j'étais devant mon PC à sélectionner les bons morceaux même si ce n'est pas mon job: je n'étais pas payé pour ça mais je le faisais juste pour mon école. Cette dernière fait partie des meilleures en Afrique dans le monde journalistique donc l'équipement en image et en son est de dernière génération. Il est donc inconcevable qu'on cherche un individu en dehors de l'école pour s'occuper de la sonorisation.

 Une fois l'étape de la dégustation finie, la partie la plus intéressante devait arriver: c'est la prestation de chaque pays sur un morceau de chez lui. Étant donné que la charité bien ordonnée commence par soi-même, le Sénégal devait ouvrir le bal. Sur ce, je n'ai pas hésité à balancer le célèbre morceau "malaw" de Pape Diouf. Tout à coup, ils se sont mis à hésiter, les uns bousculaient les autres pour ne pas danser. 

Le Bénin devait suivre mais tant que les autochtones ne passeront pas, aucun pays ne passera. J'avais le drapeau du Bénin enroulé au cou car il était convenu qu'en voulant faire la présentation de notre pays, je sois devant. J'avais tellement envie d'exposer mes talents de danseur mais mes amis du Sénégal m'en ont pas donné l'occasion. Le soleil disparaissait, les invités rentraient car le dîner de gala était prévu pour 21 heures, raison pour laquelle chacun devait vite rentrer pour récupérer. Les étudiants de la 46e promotion s'échangeaient le micro pour imiter certains professeurs. C'était un spectacle de rires et de moments intenses. Ainsi prend fin cette journée qui était bénéfique pour chacun d'entre nous. C'est vrai que nous n'avons pas pu donner nos impressions mais la fête était belle.   . 

L'AMBASSADEUR DES ETATS-UNIS FACE AUX CESTIENS


Le Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information  (CESTI) accueille James Zumwalt, l'ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal. C'était le mercredi 27 avril 2016 lors d'un carrefour d'actualités qui s'est tenu à la case foyer de cette école. Les questions ont porté sur la coopération entre l'Afrique et les États-Unis, le radicalisme religieux sans oublier ses ramifications en Afrique et le probleme de la démocratie africaine.

L'absence de dialogue étouffe le couple


"Huis clos" est un film qui expose la vie d'un couple confronté à plusieurs blocages dus à un manque de communication. Sakina est la protagoniste du film. Aida Badiane à l'état civil, elle est une belle femme africaine, ronde et aux traits physiques séduisants.

Cette femme est soucieuse du bien-être de son mari, qui depuis quelques temps reste indifférent aux besoins de celle-ci. Bouche-bée et plongé dans l'individualisme, l'homme ne communique pas avec elle. Les soirs au coucher, il se contente de dîner sans prêter attention à son épouse. Cette dernière a beau mener des démarches en usant d'astuces féminines pour le ramener mais sans résultat. Toutes les tentatives de séduction (perles traditionnelles, tenues sexy et transparentes qu'elle porte au coucher pour sortir ses rondeurs afin d'exciter son mari) sont vaines. Son homme ne réagit toujours pas et lui tourne même dos quand ils sont dans le lit conjugal.

 Un jour, alors qu'ils étaient à table en silence, le portable de monsieur sonne et ne voulant pas recevoir l'appel en présence de sa femme, il s'éloigne. À son retour, sa femme le soupçonne d'avoir une maîtresse mais l'homme ne répond pas. Au coucher, c'est le même scénario: silence absolu mais cette fois-ci, il lisait un livre intitulé "la spirale de la vie". Apres la lecture, il ferme le livre et se couche.

 Ce phénomène répétitif est devenu un poids pour la femme qui devient toute soucieuse. Elle alla voir un féticheur et après le sacrifice d'une chèvre et l'utilisation d'une potion qu'elle asperge dans la chambre, elle n'est pas satisfaite. Elle fait donc recours à un médecin qui après discussion, lui faisait comprendre que ce problème est lié à un manque de dialogue entre son mari et elle. Il n'est pas impuissant mais c'est un mal psychologique qui peut être réglé. Le médecin lui donne des conseils qu'elle doit suivre pour obtenir satisfaction.

 Toute confiante, Sakina rentre à la maison et se rapproche plus que jamais de son mari. Elle le prend en charge avec beaucoup plus de tendresse, prend soin de lui, le cajole, le chouchoute et lui dit des mots doux. Aussitôt, l'action devient interactif, c'est-à-dire que l'homme fit de même et tous joyeux, ils se prirent par les mains pour s’entraîner dans la chambre à coucher. On entendit des rires et ainsi prit fin le film.

PARTIE CRITIQUE

À mon avis, ce film est d'une grande importance dans nos sociétés, surtout africaines. Il passe un message qui pourrait aider des milliers de couples à régler des problèmes rien que par le dialogue et l'entente. 

Ce qui est passionnant est que les acteurs n'ont pas eu besoin de parler pour se faire comprendre: les gestes suffisent et je pense qu'il faut avoir une certaine expérience en production cinématographique pour y arriver. Que ce soit l'homme ou la femme, les conjoints doivent communiquer. C'est le manque de dialogue qui détruit la majorité des couples et conduit au divorce. Il revient surtout à l'homme de prendre en main ce facteur pour sauvegarder la relation. 

Sans dialogue, les problèmes ne peuvent pas être résolus au sein du couple. Il faut également la tendresse et l'assurance: mettre en confiance son / sa partenaire pour faciliter le dialogue. Chacun doit accorder un peu de son temps pour vivre heureux car dans ce film, c'est le haut rang auquel se trouvent les conjoints dans la société qui a crée ce manque de dialogue. Autrement dit, ils passent toute la journée à travailler en ville et reviennent tous fatigués les soirs. Donc ils n'ont pas le temps de communiquer et de passer de bons moments ensemble.

Vivement que les couples prennent conscience de ce fait et que ce film soit projeté partout dans le monde afin d'inspirer les ménages et de réduire les problèmes conjugaux.

                                                                                                                                  A. HEDJI 

dimanche 15 mai 2016

Cinquantenaire du Cesti : le dîner de gala


GRAND DÎNER DE GALA HIER, SAMEDI 14 MAI 2016 À LA PLACE DU SOUVENIR AFRICAIN DE DAKAR DANS LE CADRE DES JOURNÉES DU CINQUANTENAIRE DU CENTRE D'ÉTUDES DES SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INFORMATION (CESTI). C’ÉTAIT LA DERNIÈRE FESTIVITÉ QUI DEVAIT CLÔTURER LES MANIFESTATIONS. UNE FORTE DÉLÉGATION DES ÉTUDIANTS DU CESTI ÉTAIT DE LA PARTIE. 

DEUX CATÉGORIES DE PERSONNES ÉTAIENT PRÉSENTES À CETTE SOIRÉE: LES INVITÉS EN GALANTE COMPAGNIE ET LES ÉLECTRONS LIBRES: CE FUT LE CAS DES ÉTUDIANTS DE LA 46e PROMOTION QU'ON POUVAIT CLASSER DANS LE SECOND GROUPE. MAIS CE FAIT N'A PAS EMPÊCHÉ CES DERNIERS DE VIVRE L’ÉVÉNEMENT COMME IL LE FAUT CAR ENTRE CAMARADES DE CLASSE, IL Y A TOUJOURS CE QU'IL FAUT POUR APPORTER UN GRAIN DE SEL AUX CAUSERIES. AUTREMENT DIT, TOUT LE MONDE ÉTAIT CONFONDU À LA MASSE ET SYMPATHISAIT SANS QUELCONQUE DISTINCTION. BLAGUES, TAQUINERIES, DISCUSSIONS ET PRISES DE VUES ÉTAIENT AU RENDEZ-VOUS. ON POUVAIT ÉGALEMENT NOTER LA PRÉSENCE DE QUELQUES ANCIENS DIPLÔMÉS DU CESTI. 

PLUSIEURS ARTISTES INVITÉS ONT PRESTÉ AFIN D'ÉGAYER LE PUBLIC EN CHALEUR. LA FÊTE ÉTAIT BELLE, L'AMBIANCE ÉTAIT CONVIVIALE ET LA JOIE SE LISAIT SUR TOUS LES VISAGES.


DES PRIX ONT ÉTÉ DÉCERNÉS À QUELQUES ANCIENS ÉTUDIANTS DU CESTI POUR LE TRAVAIL REMARQUABLE ABATTU DANS LA PRESSE SÉNÉGALAISE: C'EST LE CAS DE OUSMANE LAYE DIOP. DJIB DIEDHIOU, ENSEIGNANT EN PRESSE ÉCRITE AU CESTI A ÉTÉ ÉGALEMENT DISTINGUÉ AINSI QUE RACINE TALLA, LE DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA RADIOTÉLÉVISION SÉNÉGALAISE (RTS).


TOUS LES HOMMES ÉTAIENT TIRÉS À 4 ÉPINGLES, CERTAINS EN COSTUMES ET D'AUTRES EN PANTALONS CHEMISES, CE QUI DONNAIT LIEU À UNE MESSE DE COULEURS HARMONIEUSES. QUANT AUX FEMMES, ELLES ÉTAIENT BELLES ET SPLENDIDES DANS LEURS ROBES.


LA SOIRÉE ÉTAIT RICHE EN SON ET EN COULEURS AVEC LA PRÉSENCE EFFECTIVE DE BON NOMBRE DE PERSONNALITÉS PARMI LESQUELLES ABDOU LATIF COULIBALY, L'UN DES PARRAINS DE L’ÉVÉNEMENT.

LE DIRECTEUR DU CESTI ABSENT ÉTAIT REPRÉSENTÉ PAR MOUMINY CAMARA, UN ENSEIGNANT DU CESTI. CERTAINS MEMBRES DU PERSONNEL, DONT M. MAMADOU N'DIAYE, M. GNIMADI ÉRIC NE SONT PAS RESTÉS EN MARGE DE L’ÉVÉNEMENT. Mlle GAYE ET SÉRIGNE THIAM ÉTAIENT À LA CAMÉRA PENDANT QUE ELI MAN NDAO IMMORTALISAIT CETTE SOIRÉE EN PRENANT DES PHOTOS. 

LA SOIRÉE ÉTAIT PRÉVUE POUR 21HEURES MAIS JUSQU’À 22H30MIN VOIRE 23HEURES, CERTAINS INVITÉS FAISAIENT LEUR ENTRÉES.LES FESTIVITÉS ONT PRIS FIN VERS 3H DU MATIN.

IL FAUT AUSSI RECONNAÎTRE QUE LE FAIT D'AVOIR PARCOURU UNE DISTANCE DU CAMPUS SOCIAL À LADITE PLACE AVEC LES AMIS ÉTAIT BÉNÉFIQUE POUR CHACUN D'ENTRE NOUS CAR NOUS AVONS PROFITÉ DU BON VENT QUI SOUFFLAIT AUX ENVIRONS DE 21H30MIN TOUT EN LONGEANT LA CORNICHE (UNE DES PLAGES SPORTIVES DE DAKAR) EN UN GROUPE DE 7 ÉTUDIANTS DONT 6 DE LA PREMIÈRE ANNÉE ET 1 DE LA 2e ANNÉE. 


LES TICKETS D'ENTRÉE ÉTAIENT À 20 000 FCFA ET 50 000 FCFA POUR LES VIP.




samedi 14 mai 2016

(AUDIO) CÉRÉMONIE OFFICIELLE DU CINQUANTENAIRE DU CESTI.


«Ces trois enseignants ont influé sur ma trajectoire personnelle, ce sont eux qui m'ont amené à embrasser une carrière universitaire», tels sont les propos de M. Ibrahima SARR (directeur du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'information) lors de la cérémonie officielle du cinquantenaire du CESTI qui a eu lieu dans la matinée du vendredi 13 mai 2016 à la case foyer. Voici un extrait de son discours.

mardi 10 mai 2016

Pour une presse libre et autonome

Le 3 mai 2016, les étudiants du CESTI ont célébré la Journée Mondiale de la Liberté de Presse (JMLP). Une table ronde est organisée au CESTI, autour des acteurs émergents et des "femmes activistes" pour discuter des nouveaux défis et des nouveaux enjeux de la liberté d'expression.

LES LIONS DU SÉNÉGAL, DE PASSAGE AU CESTI.


La case foyer du CESTI a vibré au rythme du ballon ce mercredi 04 mai 2016 avec Alioune CISSE, sélectionneur de l'équipe nationale du Sénégal. Ce carrefour d'actualités était une rencontre riche en partage d'expériences et a tourné autour du thème "football sénégalais;quelles perspectives". Oumar DIOUME (chercheur ingénieur et auteur de plusieurs ouvrages sur l'histoire des cadres sportifs noirs), Moustapha DIOP (ancien joueur sénégalais) et d'autres icônes du monde footballistique sénégalais étaient présents à cette occasion. M. Ibrahima SARR, directeur du CESTI était à la table des invités pour leur rendre hommage et exprimer sa joie d’être parmi eux. Mais compte tenu de son agenda très chargé, il n'a pas pu participer au débat car cette période était celle de l'organisation du concours d'entrée au CESTI