mercredi 21 septembre 2016

(Vidéo) Les traditions les plus étranges du monde.


1) Une balade avec un cadavre (Indonésie):
Tellement attachés à leurs familles et ancêtres, les Torajas refusent de s'en séparer même après leur mort. Chez eux, le concept du repos éternel n'existe pas encore.

Ce rite permet d'évaluer la force et le courage d'un individu, et surtout de tester sa foi.

Les membres de la tribu et particulièrement les femmes, se coupent un segment de leurs doigts pour avoir l'air plus triste.

4) Le lancer de bébé (Sud du Solapur en Inde):
Les nouveaux nés sont soumis à une rude épreuve. Du haut d'un temple, le bébé est brusquement lancé en l'air et réceptionné 15 mètres plus tard par une bâche tendue par une foule. Il faut plusieurs minutes pour que l'enfant en pleurs puisse se remettre du choc.

5) Enlèvement des jeunes femmes Tchétchènes (Tchétchénie)
Le kidnapping des jeunes femmes était un moyen infaillible de forcer l'amant de la jeune fille en cas de refus du prétendant. Les parents de la jeune fille enlevée finissaient par accepter à contre cœur le mariage. De nos jours, cette coutume est toujours pratiquée.    

6) Le dog spinning (Bulgarie):
Censé prévenir la rage et éloigner les mauvais esprits, un rituel d'origine païenne consiste à attacher un chien à une corde torsadée suspendue au dessus d'une rivière. Les locaux relâchent la corde et observent en riant, la bête qui tourne sur elle-même à grande vitesse. L'action est répétée jusqu’à ce que l'animal finisse par tomber dans l'eau, désorienté et soit incapable de nager. Ils n'y voient aucune forme de cruauté. 

7) Coucher avec une vierge (Sud du Malawi):
Certaines communautés de ladite région paieraient entre 4 et 7 dollars pour avoir des relations sexuelles avec des jeunes filles vierges. Ces hommes seraient grassement payés par des familles pour coucher avec leurs propres enfants, soit disant pour leur apprendre la vie. Ces petites filles qui n'ont parfois seulement que 6 ans sont ainsi dépucelées par des grands gaillards. Pour les pratiquants, cela semble être un rite de passage à l'age adulte. De plus, ces relations sexuelles sont pratiquées sans aucune forme de contraception.

C'est une mutilation sans aucun avantage pour la santé des femmes. Elle est pratiquée le plus souvent dans les villages reculés d'Afrique et cela, malgré les complications et les souffrances à vie engendrées. Les raisons de cette pratique varient d'une région à une autre mais cette tradition barbare vise à s'assurer de la virginité de la jeune femme avant le mariage et de sa fidélité après, selon quelques pratiquants.             

Si vous viviez dans les régions citées, laquelle de ces coutumes étonnantes n'auriez vous jamais accepté de perpétuer?

jeudi 15 septembre 2016

Que deviennent les photographes d'aujourd'hui ?

PAR FODÉ MANGA ET AMEN HEDJI DE SENEPLUS

VIDEO
LA PHOTOGRAPHIE NE NOURRIT PLUS LES PRATIQUANTS

FODÉ MANGA ET AMEN HEDJI   |   Publication 15/09/2016

Autrefois art dont quelques rares pratiquants détenaient les secrets, la photographie est aujourd’hui à la portée de tous. Et les outils sont devenus innombrables. Avec l’avènement du numérique et des téléphones portables, les studios photos sont presqu’inexistants car le métier ne nourrit plus son homme.  Certains photographes ou même gérants de studio, pour survivre, ont tout simplement changé de métier. Cris de cœur des professionnels  de l’image au micro de SenePlus.Com


Tabaski 2016 à Dakar : les ''Taxi men'' se plaignent


PAR FODÉ MANGA ET AMEN HEDJI DE SENEPLUS

VIDEO
QUEL BILAN POUR LES TAXIMEN ?

LE LENDEMAIN ’APRES-TABASKI

FODÉ MANGA ET AMEN HEDJI   |   Publication 15/09/2016

La Tabaski a vidé Dakar de ses habitants et cela n’est pas sans conséquences économiques, notamment sur les braves conducteurs de taxi de la capitale. Quelques  jours après la tabaski, la ville est toujours clairsemée. Les clients se font rares. Et  par ces temps de pluie, l’impraticabilité de certaines voies n’arrange rien. Les taximen devront certainement patienter encore jusqu’à la semaine prochaine pour espérer retrouver le brouillement d’il y a environ une semaine. 

           


mercredi 14 septembre 2016

Ces femmes qui s'habillent sans dessous




Vous ne le saviez peut-être pas…


Le slip est un sous-vêtement de référence. Jadis prisé par les jeunes, dorénavant on constate que son port est de plus en plus banalisé. Certains pensent que le fait de ne pas le porter est une mode alors que d'autres y voient une mauvaise habitude.
Faisant partie de notre premier vêtement dès la naissance, le slip nous a été imposé, en partie, par nos parents. Ces derniers pensent que c'est une bonne chose de le porter. A les a en croire, sans le slip, on a l'impression que nous sommes nus, quel que soit l'habit que nous portons. Le slip fait donc partie de notre habillement d'autant plus que nous lui sommes habitués depuis le bas âge.
Toutefois, d'après un constat fait par Grand-Place, les jeunes d'aujourd'hui, plus particulièrement les jeunes filles, une fois atteint un certain âge, ont tendance à banaliser ce sous-vêtement. Si d'aucuns continuent à le porter, d'autres ne le font plus du tout ou le portent seulement en cas de besoin. Et chacun cherche à justifier son choix.
Les raisons du rejet du slip par certaines jeunes filles sont diverses. Aïda est une jeune étudiante trouvée à son école, en pantalon jean taille basse et en body. D'après elle, le slip est gênant et il est impensable qu'elle le porte. "Quand je porte un slip, j'ai l'impression que mon bas est emprisonné. Il me gêne, je ne peux pas me mouvoir avec aisance. Et si je le porte, j'aurai tout le temps envie de le réajuster, c'est pourquoi je n'en mets pas", se justifie-t-elle. Elle poursuit : "Pour moi, ce n'est pas une mauvaise habitude, mais je dirais plutôt une mode et un choix, chacun est libre de s'habiller comme il veut. Je porte le slip uniquement quand je vois mes menstrues", affirme-t-elle. 
Une femme ne doit pas porter un slip chaque jour, mais…
Cette jeune mariée, Marème Tall, trouvée à son domicile sis à la cité gendarmerie de Jaxaay (Keur Massar), a un avis mitigé sur le port du slip. Elle fait savoir que le port de ce dessous dépend du climat. "Il est vrai que c'est de la perversion de ne pas le mettre. Mais, une femme ne doit pas porter un slip chaque jour, ce n'est pas bon, cela provoque des infections vaginales, surtout quand on ne prend pas le soin de le sécher au soleil. Normalement, une femme ne doit porter de slip que quand elle voit ses règles", soutient-elle. 
Toujours sur la même lancée, elle estime qu'il n'est pas possible de porter un jean avec en dessous un slip. "Porter un jean et y ajouter un slip, c'est du suicide. Un jean sans slip peut te donner une infection vaginale", prétend-elle. À l'en croire, les médecins interdissent son port en état de grossesse.
"Aux femmes en état de grossesse, les médecins interdisent le port du slip. Mais, si une jeune fille doit porter un slip chaque jour, elle doit le repasser ou le sécher au soleil", explique Marème. Elle estime par ailleurs que l'absence du slip en tant que tel n'est pas mauvaise.
"C'est la façon de le faire qui est mauvaise. Tu peux ne pas porter un slip et le remplacer par un bas avec un justaucorps décent". Elle va plus loin en faisant savoir que nos mamans ne connaissaient pas de slip. "Auparavant nos mamans et grand-mères ne connaissaient pas le slip, mais n'empêche qu'elles portaient des habits décents et personne ne savait qu'elles n'en avaient pas mis", confie Marème.
Elle ne pense pas porter un slip quand elle est chez elle
Quant à Dygaye, jeune sage-femme rencontrée dans la rue, elle ne fait pas bon ménage avec le slip et n'en fait pas tout un drame. "Si je ne porte pas de slip, je suis plus à l'aise. Et surtout quand il fait chaud, n'en parlons même pas. Je ne pense pas le porter. Mais, quand je suis en jupe, je me sacrifie juste pour des instants et je m'en passe", confie Dygaye.
Elle avance plus loin, mais avec une petite contradiction de ce qu'elle a avancé en premier. "Si je dois sortir, comme pour aller en ville tout en sachant que je dois emprunter un bus, je le porte parce que c'est plus respectueux et plus sûr. Imagine une jeune fille sans slip se

samedi 10 septembre 2016

Le recteur de l'UCAD vise loin.

ACTIVITÉS CITOYENNES 2016 : Pour moi, les 100 000 étudiants de l’UCAD doivent être nourris par l’UCAD, on n’a pas besoin d’aller chercher ailleurs de quoi les nourrir.

T. Amen HEDJI, Stagiaire   |   Publication 10/09/2016

Une cinquantaine d’étudiants volontaires a participé aux activités citoyennes organisées par le rectorat de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar dans le cadre du projet ‘’Ucad rural’’. Une manière pour l’université  d’assumer sa responsabilité sociétale et citoyenne de l’université (RESCU)
 Concrétisé  à Niakhene (situé dans la région de Thiès, département de Tivaouane) du 25 août au 04 septembre 2016, ce projet a fait l’objet d’appui à ladite commune dans les secteurs de l’agriculture et du développement rural.
 Une journée de formation a précédé les manifestations en vue de mener à bien les activités. Issus de différentes facultés à savoir: médecine, sociologie, droit, histoire, linguistique, géographie et biologie, ces étudiants ont animé le séjour par des séances de reboisement, de mobilisation sanitaire, d’éducation environnementale et des techniques de production agricole, y compris les activités culturelles et sportives qui ont clôturé le séjour le 03 septembre 2016.
Dans le cadre de ladite cérémonie officielle qui a mis fin aux activités, Ibrahima Thioub l’actuel recteur de l’UCAD fait part de sa vision pour les activités citoyennes qui, selon lui, ont été reprises cette année, pour relancer un vieux projet qui avait été initié par l’ancien recteur Abdou Salam Sall et qui avait été interrompu.
PARTENARIAT UCAD- NIAKHENE
«Nous sommes revenus pour renouer le partenariat avec la commune de Niakhene et dans ce cadre, nous nous sommes dits qu’il faut leur donner un certain nombre de signes qui montrent notre engagement à vraiment faire avancer le projet, la section Niakhene de ‘’ucad rural’’ parce que pour moi, ‘’ucad rural’’ devra couvrir toutes les communes du Sénégal et probablement même aller au-delà. J’aurais bien aimé qu’on effectue un maillage du pays avec les autres universités » poursuit-il.
QUELLE VISION POUR ‘’UCAD RURAL’’?
« À Niakhene, moi ma vision est à corriger et il y des spécialistes qui sont beaucoup plus férus que moi sur ces questions mais ce que je vois est ceci : c’est de mettre ici un château d’eau parce que le problème fondamental à résoudre est celui de l’accès à l’eau, non pas seulement l’eau de boisson mais l’eau pour faire les plantes.
Peut-être mettre du goutte à goutte, faire de l’agroforesterie parce que la région s’y prête, faire de l’élevage, faire de la production maraîchère, y mettre un centre médico-social mais tout cela connaitra la recherche, le service à la communauté et la production.
 Pour moi, les 100 000 étudiants de l’UCAD doivent être nourris par l’UCAD, on n’a pas besoin d’aller chercher ailleurs de quoi les nourrir. Au moins, on doit pouvoir produire la viande, les œufs et cela nous ferra des économies considérables, ce qui améliorera nécessairement les conditions d’études des étudiants.
 En même temps cela nous permettra de booster une recherche appliquée sur le terrain, c’est-à-dire que quand nous serrons à Niakhene, le problème pédologique qui va se poser, nous serons en mesure de le régler. Ce ne sont pas les paysans qui le règleront à notre place, mais nous devons le régler avec eux : ce qui améliore leurs productions, retient les jeunes sur le terroir, parce qu’il va se développer, y compris l’élevage.
 C’est en cela que les 50 hectares qu’on nous a donné, qui est à peu près l’équivalent de l’espace qu’on a à Dakar, devra abriter des pavillons pour les étudiants et les enseignants qui séjourneront pendant l’année universitaire.
Un groupe de la Licence 2 biologie végétale peut descendre ici pendant trois mois avec 3 à  4 enseignants qui vont y loger avec eux afin qu’ils travaillent avec les paysans sur l’espace qui nous est offert ici. Ils y feront des études, des thèses, ce qui peut aller jusqu’à la création d’entreprises par les étudiants qui seront formés à ce niveau. Moi, c’est ma vision de l’université » dit-il pour finir. 

jeudi 8 septembre 2016

Ucad VS Niakhene

Crédit photo: Amen Cydben HEDJI

Pour marquer la fin du séjour #ucad_rural qui a duré 10jrs, un match de football a opposé l'équipe d'ucad rural(en vert) à celle de la commune de #Niakhene(en rouge ) le samedi 3 septembre 2016. Le score était de 1 but partout et il a fallu les tirs aux buts pour départager les 2 équipes. Celle d'ucad rural l'emporte face à 6 tirs contre 5 et rentre avec le trophée mis en jeu. Cela n'aurait pas été possible sans le coaching des étudiantes de l'institut National Supérieur de l'Education Populaire et du Sport (INSEPS) . Voici les grands moments de la rencontre

mercredi 7 septembre 2016

Tous pour le développement de l’écosystème

crédit photo:toundé amen cydben HEDJI

Située dans le département de Tivaouane et comptant 62 villages, la commune de Niakhene a abrité  du 25 Août au 04 Septembre 2016 les activités citoyennes  dans le cadre du projet Ucad rural. Ils sont une cinquantaine d’étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) à y participer pour apporter leur savoir-faire aux populations de ladite commune. La biologie végétale (BV), avec à sa tête Mr Aliou GUISSÉ, (professeur titulaire d'écologie à l'UCAD) fait partie des domaines d’interventions de ces étudiants qui ont sensibilisé les populations et procédé à la mise sous terre de différents plants dans la forêt classée de Ndémene et quelques villages.

Les étudiants, toutes  compétences confondues,  étaient mobilisés autour des activités de reboisement qui ont démarré dans la matinée du 26 Août 2016. Il faut également noter la présence effective d’une  masse de population, composée essentiellement  de femmes, jeunes, vieux et enfants. 

Tout l’équipement technique et mobile était à leur disposition afin que chacun puisse donner le meilleur de lui-même malgré cette chaleur intense sur les lieux. Parlant de lieux, Khaoulou, Mérina Asta, Bopp Sylla font entre autres partie des villages qui ont bénéficié du reboisement.


Le Sergent Babacar Diouf, agent technique des eaux et forêts, chef de la brigade forestière de Niakhene nous fait ci-dessous,  le point de la première journée de reboisement :


Au total 400 plants ont été mis sous terres dans les villages de Bopp Sylla et de Mérina Asta le 26 août 2016, soit (200 prosopis juliflora, 100 anarcadium, 50 ziziphus et 50 eucalyptus).

Il en a été de même le 27 août 2016 mais cette fois ci dans les villages de Khaoulou et de Ndiré Mbaye.

Le 28 août a par contre été la plus grande journée de reboisement car 1750 plants ont été mis sous terres dans la forêt classée de Ndémene, soit (1500 acacia méllifera, 100 anarcadium occidental et 150 tamaniadus indica). 

Moustapha Sylla, le maire de la commune de Niakhene compte prendre les dispositions nécessaires pour un suivi à long terme de ces plants.